Chapitre 74

[1491/vue 43] Capitulum LXXIIII1caput 73 1536.

Purpura [la pourpre1Sur la pourpre ou murex (Murex Linné, 1758), voir s. v. Murix.] [+][VB 17, 82 De purpura [-]][+] [+][VB 17, 83 De medicinis ex purpura [-]][+]

Purpura [+][VB 17, 82 De purpura [-]][+] [+][VB 17, 83 De medicinis ex purpura [-]][+]

Renvois internes : Purpura : cf. Barchora, ch. 12 ; Karkora, ch. 45 ; Murix, ch. 58.

Lieux parallèles : TC, De purpuris (7, 60) ; AM, [Purpura] (24, 91 (46)).

poisson

[1] [] VB 17, 82, 1-2D’après le Liber de natura rerum. [] TC 7, 60, 1-3Les pourpres sont des coquillages marins qui s’agglutinent au printemps et, en se frottant, sécrètent un liquide par leur bouche. [] TC 7, 60, 2Les murex font de même, au lever du Chien2Le terme canis désigne la constellation du Grand Chien., pendant trente jours. En se frottant les unes contre les autres, elles sécrètent une sorte de cire visqueuse, et les murex font de même3Pour une distinction entre pourpre et murex, voir De Saint-Denis 1947, 92. Selon Kitchell & Resnick 1999, 1694, n. 242, il serait vain de tenter de différencier les deux animaux ; dans le même sens, voir D’Arcy Thompson 1947, 209-217. . [] Plin. nat. 9, 126On essaie de capturer les pourpres vivantes, parce qu’elles laissent échapper ce suc en expirant. On l’extrait des plus gros coquillages après avoir ôté leur coquille ; mais on écrase les plus petits avec leur coquille. C’est de cette façon seulement que les Tyriens recueillent leur bave. [] Plin. nat. 9, 128La langue de la pourpre est de la longueur d’un doigt et lui permet de se nourrir en perforant les autres coquillages, tant la pointe en est dure. Les pourpres périssent dans l’eau douce, de même que si elles sont plongées dans un fleuve. Autrement, une fois prises, elles vivent de leur eau pendant cinquante jours. [] TC 7, 60, 4-10Les coquilles de ces animaux marins atteignent leur plein développement en moins d’une année ; mais, s’ils prolongent leur croissance, ils perdent leur instinct sexuel et ne peuvent plus s’accoupler pour produire au bon moment leur précieux liquide. Pour cette raison, on met le plus grand soin à leur ôter leur coquille dès la première année ou on la brise afin qu’elle ne se développe plus. C’est avec ce liquide qu’on teint ordinairement les vêtements de pourpre, couleur qui brille comme une rose aux reflets noirs. [] VB 17, 82, 2Selon Pline, [] TC 7, 60, 4-10on prend les pourpres grâce à de petits appâts à l’odeur fétide ; et, quand ils sont à demi morts, ils reprennent vie quand on les rejette à la mer.

[1] [] VB 17, 82, 1-2Ex Libro de naturis rerum2La seule source indiquée par l’Hortus sanitatis pour la notice descriptive qui précède les operationes est Thomas de Cantimpré, tandis que Vincent de Beauvais avait présenté successivement un paragraphe marqué au nom de Pline, puis un à celui de Thomas de Cantimpré. L’auteur de l’Hortus sanitatis a donc réorganisé la matière, qu’il n’attribue qu’à Thomas de Cantimpré, en puisant dans les deux paragraphes de Vincent de Beauvais ce qui lui semblait redondant, mais en ne modifiant qu’à peine la structure des phrases.. [] TC 7, 60, 1-3Purpurae sunt conchae marinae quae verno tempore congregantur et attritae3attricae 1536. liquorem ore salivant. [] TC 7, 60, 2Similiter et4similiter et : latent sicut VB. murices circa canis ortum tricenis diebus. Mutuoque attritu lentore5lentorem VB. cujusdam cerae salivant, similiter et murices. [] Plin. nat. 9, 126Viuas capere contendunt, quia cum uita sucum eum euomunt. Et maioribus quidem purpuris detracta concha auferunt, minores cum testa uiuas frangunt, ita demum eum expuentes.Purpuras autem6ac 1491 Prüss1 del. 1536 aut VB2. vivas capere contendunt, quia cum vita sua succum illum evomunt et majoribus quidem conchis detracta concha auferunt, minores vero cum testis frangunt, ita demum rorem eum excipientes Tyrii7tiry 1491 Prüss1.. [] Plin. nat. 9, 128Lingua purpurae longitudine digitali, qua pascitur perforando reliqua conchylia ; tanta duritia aculeo est. Aquae dulcedine necantur et sicubi flumen inmergitur ; alioqui captae et diebus quinquagenis uiuont saliua sua.Lingua purpurae longitudine digitali, qua pascitur perforando reliqua conchilia, tanta8post tanta hab. est VB. aculeo duritia. Aqua dulci9Aristote pour sa part faisait référence à l’eau de pluie et non à celle des fleuves (Arist. HA 603 a 12-16 MS : aqua pluvie convenit omnibus testei corii preter corcoraz et significacio super hoc est quod si posuerit istum piscem in loco, in quo decurrit aqua pluvie et gustaverit ex ea, morietur illa die. Et karkora, postquam deprehenditur, vivit multo tempore). enecantur et sicubi flumini immerguntur alioquin captae10capitae 1536. etiam diebus quinquagenis vivunt saliva sua. [] TC 7, 60, 4-10Horum piscium11Depuis ces mots jusqu’à la fin du paragraphe, le texte de Thomas de Cantimpré est ici recopié presque à l’identique. conchae infra annum magnitudinem implent ; quod si ante in crescendo transcurrant, vim libidinis auferunt nec ultra coire possunt, ut in tempore pretiosum liquorem pariant. Unde summa diligentia primo anno detrahun[Prüss1/vue 36] tur eis conchae vel confringuntur ne crescant12crescat 1536.. Hoc liquore vestis purpurea tingi solet ; qui color nigricantis13nigrantis VBd. rosae14Voir Plin. nat. 9, 126 : nigrantis rosae colore. more sublucet. Purpurae, [] VB 17, 82, 2secundum Plinium15La référence à Pline ne vient pas de Thomas de Cantimpré : elle a été ajoutée par Vincent de Beauvais. Voir Plin. nat. 9, 132 : Has semineces, sed redditas mari auido hiatu reuiuescentes, appetunt purpurae porrectisque linguis infestant., [] TC 7, 60, 4-10fetidis odoribus capiuntur, et cum semineces fuerint, mari redditae reviviscunt.

Propriétés et indications

Operationes

[2] [] VB 17, 83, 1A. Pline, livre 33. [] Plin. nat. 32, 66Les pourpres sont de bons contrepoisons. [] Plin. nat. 32, 68La cendre de leur coquille, mélangée à du miel, peut être appliquée, de manière profitable, sur les ulcères de la tête.

[2] [] VB 17, 83, 1A. Plinius, libro XXXIII16L’auteur de l’Hortus sanitatis n’a pas corrigé l’erreur commise par Vincent de Beauvais à propos du livre de Pline.. [] Plin. nat. 32, 66Purpurae quoque contra uenena prosunt.Purpurae contra venena prosunt. [] Plin. nat. 32, 68Capitis ulceribus muricum uel purpurarum testae cinis cum melle utiliter inlinitur.Horum17harum VB. testae cinis utiliter cum melle illinitur ulceribus capitis.

[3] [] VB 17, 83, 1B. [] Plin. nat. 32, 65Cette cendre, mélangée à du miel, soigne encore efficacement les seins de la femme4Cette propriété est en réalité, chez Pline, attribuée à la cendre de coquille d’huître, ostreum (du terme ostrum, « teinture tirée d’un coquillage », on a sans doute hâtivement conclu que l’appellation ostreum désignait la pourpre, alors que l’auteur de l’Histoire naturelle restreint son usage à l’huître). En revanche, la coquille de la pourpre a pour vertu de soigner les taches (maculae) sur le visage des femmes ; voir Plin. nat. 32, 84 : Muricum uel conchyliorum testae cinis maculas in facie mulierum purgat cum melle inlitus, « La cendre de la coquille des murex ou des coquillages à pourpre efface, si on l’applique avec du miel, les taches sur le visage des femmes ». Voir Murix, ch. 58, 5..

[3] [] VB 17, 83, 1B. [] Plin. nat. 32, 65Testae ostreorum cinis uuam sedat et tonsillas admixto melle, eodem modo parotidas, panos mammarumque duritias.Idem quoque cinis cum melle efficaciter sanat mulierum mammas.

[4] [] VB 17, 83, 1C. [] Plin. nat. 32, 106Cette cendre combat aussi contre les tumeurs5Sur le terme latin panus, i, m : tumeur, voir Cancer, ch. 16, 7, note philologique. de deux manières qu’il faille dissoudre les tumeurs commençantes ou liquider les tumeurs mûres. [] Plin. nat. 32, 84Chez les pourpres et les murex, les espèces les plus efficaces sont les plus petites, et elles entretiennent une bonne haleine6Voir Plin. nat. 32, 84 : « Au genre du murex appartiennent les coquillages que les Grecs appellent coluthies ou encore coryphies, également turbinés, mais plus petits, beaucoup plus efficaces ; ils entretiennent aussi une bonne haleine » (De Saint-Denis 1966a, 50). Comme Vincent de Beauvais ne reprend pas le détail essentiel apporté par Pline, il attribue au murex ou à la purpura la propriété d’un autre coquillage, espèce de pourpre, à propos desquels De Saint-Denis 1966a, 131, § 147, 2, précise que ce sont des univalves spiralés. Voir encore D’Arcy Thompson 1947, 122..

[4] [] VB 17, 83, 1C. [] Plin. nat. 32, 106At echinorum testae contusae et ex aqua inlitae incipientibus panis resistunt, muricum vel purpurarum cinis utroque modo.Pannis18panis 1536. etiam resistit utroque modo idem cinis19Nous avons corrigé la présentation de la citation de Plin. nat. 32, 106, dont le début, dans les éditions anciennes, se trouve placé à la fin de l’operatio B (Panis etiam resistit utroque modo), tandis que l’operatio C commence avec les mots Idem cinis., sive opus sit incipientes discutere, sive coctos emittere. [] Plin. nat. 32, 84Muricum generis sunt quae uocant Graeci coluthia, alii coryphia, turbinata aeque, sed minora, multo efficaciora, etiam oris halitum custodientia.Purpurarum sive muricum minora genera sunt efficaciora et oris halitum custodientia.

[5] [] VB 17, 83, 2D. Dioscoride. [] Diosc. 503 GVLa pourpre maritina est aussi appelée blata, parce qu’elle se présente comme un petit caillot de sang7Pour le nom blata donné à la pourpre maritina, voir TLL II, 2050, 62-84 – 2051, 1-12, s. v. Blatta (2). Le nom blatta, ae, vient du grec βλάττη et désigne le caillot de sang mais aussi la pourpre. Il faut le distinguer de blatta, ae, « la blatte », dont l’origine est incertaine.. Elle a la propriété de dessécher. C’est pourquoi, réduite en poudre et appliquée sur les abcès des gencives, elle les vide et accélère la cicatrisation.

[5] [] VB 17, 83, 2D. Dioscorides20L’auteur de l’Hortus sanitatis a jugé bon de fractionner la citation de Dioscoride trouvée chez Vincent de Beauvais en plusieurs operationes.. [] Diosc. 503 GVPurpura maritima, quam alii blactam bizantiam appellant eo quod in Bizantio primum est inventa, que ideo blacta appellatur eo quod quasi blactula sanguinis apparet. Hujus virtus sicca est. Unde putrida vulnera gingivarum in pulvere redacta et cicatrizat […].Purpura maritima21maritina 1491 Prüss1 1536. et blata appellatur, quia quasi blitula sanguinis apparet. Hujus virtus sicca est. Unde vulnera putrida gingivarum in pulverem redacta et imposita purgat et cycatrizat22cicatrizat 1536 VBd cicatrisat VB2..

[6] [] VB 17, 83, 2E. [] Diosc. 503 GVEt si une excroissance de chair apparaît sur les gencives, la pourpre, appliquée sous forme de poudre, la ronge et la fait disparaître. Son opercule8Vngula, l’« ongle », c’est-à-dire l’opercule dur et translucide qui bouche la coquille., une fois brûlé, a aussi cette propriété.

[6] [] VB 17, 83, 2E. [] Diosc. 503 GV[…] et si in eis mala caro supervenit pulverisata adhibita depascit et extirpat. Hoc et ejus ungule combuste faciunt.Et si in eis mala caro supercreverit, pulverizata23pulverisata VB2. adhibita depascit eam et extirpat. Hoc et ejus ungulae combustae faciunt.

[7] [] VB 17, 83, 2F. [] Diosc. 503 GVCet opercule ainsi que la membrane blanche de la coquille ont, quand on les brûle, l’odeur du castoreum, et on soulage les femmes qui souffrent d’affections de la matrice en soumettant celles-ci à leur fumée.

[7] [] VB 17, 83, 2F. [] Diosc. 503 GVUngule eedem et cooperculum conchilii album fumigata fuerit odorem habent castorei quae fumigatione sua stericis offocationibus laborantes liberant.Eaedem ungulae et coopertorium conchilii24conchylii VBd ut semper. album fumigata castorei odorem habent ac fumigatione sua stericis25Stericis : lire ici hystericis, « qui concerne la matrice ». suffocationibus26offocationibus 1491 Prüss1 effocationibus VB. laborantes liberant.

[8] [] VB 17, 83, 2G. [] Diosc. 503 GVLes pourpres soignent les épileptiques. Prises en boisson, elles relâchent le ventre. La coquille elle-même, une fois brûlée, possède toutes les propriétés dites ci-dessus.

[8] [] VB 17, 83, 2G. [] Diosc. 503 GVEpilenticos curant. Bibita ventrem movent. Ipsum conchilium combustum omnia superius facere novit.Epilenticos27epylenticos VB2 epilepticos VBd. curant. Bibita ventrem movent. Conchilium ipsum combustum omnia supra dicta facere28facere post novit hab. Prüss1 1536. novit.

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1Sur la pourpre ou murex (Murex Linné, 1758), voir s. v. Murix.

2Le terme canis désigne la constellation du Grand Chien.

3Pour une distinction entre pourpre et murex, voir De Saint-Denis 1947, 92. Selon Kitchell & Resnick 1999, 1694, n. 242, il serait vain de tenter de différencier les deux animaux ; dans le même sens, voir D’Arcy Thompson 1947, 209-217.

4Cette propriété est en réalité, chez Pline, attribuée à la cendre de coquille d’huître, ostreum (du terme ostrum, « teinture tirée d’un coquillage », on a sans doute hâtivement conclu que l’appellation ostreum désignait la pourpre, alors que l’auteur de l’Histoire naturelle restreint son usage à l’huître). En revanche, la coquille de la pourpre a pour vertu de soigner les taches (maculae) sur le visage des femmes ; voir Plin. nat. 32, 84 : Muricum uel conchyliorum testae cinis maculas in facie mulierum purgat cum melle inlitus, « La cendre de la coquille des murex ou des coquillages à pourpre efface, si on l’applique avec du miel, les taches sur le visage des femmes ». Voir Murix, ch. 58, 5.

5Sur le terme latin panus, i, m : tumeur, voir Cancer, ch. 16, 7, note philologique.

6Voir Plin. nat. 32, 84 : « Au genre du murex appartiennent les coquillages que les Grecs appellent coluthies ou encore coryphies, également turbinés, mais plus petits, beaucoup plus efficaces ; ils entretiennent aussi une bonne haleine » (De Saint-Denis 1966a, 50). Comme Vincent de Beauvais ne reprend pas le détail essentiel apporté par Pline, il attribue au murex ou à la purpura la propriété d’un autre coquillage, espèce de pourpre, à propos desquels De Saint-Denis 1966a, 131, § 147, 2, précise que ce sont des univalves spiralés. Voir encore D’Arcy Thompson 1947, 122.

7Pour le nom blata donné à la pourpre maritina, voir TLL II, 2050, 62-84 – 2051, 1-12, s. v. Blatta (2). Le nom blatta, ae, vient du grec βλάττη et désigne le caillot de sang mais aussi la pourpre. Il faut le distinguer de blatta, ae, « la blatte », dont l’origine est incertaine. Elle a la propriété de dessécher. C’est pourquoi, réduite en poudre et appliquée sur les abcès des gencives, elle les vide et accélère la cicatrisation.

8Vngula, l’« ongle », c’est-à-dire l’opercule dur et translucide qui bouche la coquille.

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1caput 73 1536.

2La seule source indiquée par l’Hortus sanitatis pour la notice descriptive qui précède les operationes est Thomas de Cantimpré, tandis que Vincent de Beauvais avait présenté successivement un paragraphe marqué au nom de Pline, puis un à celui de Thomas de Cantimpré. L’auteur de l’Hortus sanitatis a donc réorganisé la matière, qu’il n’attribue qu’à Thomas de Cantimpré, en puisant dans les deux paragraphes de Vincent de Beauvais ce qui lui semblait redondant, mais en ne modifiant qu’à peine la structure des phrases.

3attricae 1536.

4similiter et : latent sicut VB.

5lentorem VB.

6ac 1491 Prüss1 del. 1536 aut VB2.

7tiry 1491 Prüss1.

8post tanta hab. est VB.

9Aristote pour sa part faisait référence à l’eau de pluie et non à celle des fleuves (Arist. HA 603 a 12-16 MS : aqua pluvie convenit omnibus testei corii preter corcoraz et significacio super hoc est quod si posuerit istum piscem in loco, in quo decurrit aqua pluvie et gustaverit ex ea, morietur illa die. Et karkora, postquam deprehenditur, vivit multo tempore).

10capitae 1536.

11Depuis ces mots jusqu’à la fin du paragraphe, le texte de Thomas de Cantimpré est ici recopié presque à l’identique.

12crescat 1536.

13nigrantis VBd.

14Voir Plin. nat. 9, 126 : nigrantis rosae colore.

15La référence à Pline ne vient pas de Thomas de Cantimpré : elle a été ajoutée par Vincent de Beauvais. Voir Plin. nat. 9, 132 : Has semineces, sed redditas mari auido hiatu reuiuescentes, appetunt purpurae porrectisque linguis infestant.

16L’auteur de l’Hortus sanitatis n’a pas corrigé l’erreur commise par Vincent de Beauvais à propos du livre de Pline.

17harum VB.

18panis 1536.

19Nous avons corrigé la présentation de la citation de Plin. nat. 32, 106, dont le début, dans les éditions anciennes, se trouve placé à la fin de l’operatio B (Panis etiam resistit utroque modo), tandis que l’operatio C commence avec les mots Idem cinis.

20L’auteur de l’Hortus sanitatis a jugé bon de fractionner la citation de Dioscoride trouvée chez Vincent de Beauvais en plusieurs operationes.

21maritina 1491 Prüss1 1536.

22cicatrizat 1536 VBd cicatrisat VB2.

23pulverisata VB2.

24conchylii VBd ut semper.

25Stericis : lire ici hystericis, « qui concerne la matrice ».

26offocationibus 1491 Prüss1 effocationibus VB.

27epylenticos VB2 epilepticos VBd.

28facere post novit hab. Prüss1 1536.

Annotations scientifiques

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