chapitre 12

capitulum XII

Mort du comte Guillaume

De morte Guillelmi comitis

<1> Ainsi, lorsque le frère aîné, le comte Guillaume, mourut emporté par la maladie1La mort de Guillaume Bras de fer se situe entre septembre 1045 et août 1046 ; voir Lupus Protospatarius, Annales, ad an. 1046., une grande douleur envahit tous les Normands, qui ne comptaient pas, en effet, que l’avenir leur donnât un homme si réfléchi, si vaillant à la guerre, si généreux, accueillant et complaisant à leur égard2De même, Aimé II, 34, rapportant la mort du chevalier, fait son éloge : « En cellui temps meismes, […] fu mort Guillerme, conte de Puille, home sage et singuler ». Voir aussi Guil. Ap. II, 23-26 : vir ferrea dictus habere / Brachia Guilermus, cui vivere si licuisset, / Nemo poeta suas posset depromere laudes, / Tanta fuit probitas animi, tam vivida virtus, « on dit de Guillaume qu’il avait un bras de fer : s’il lui avait été donné de vivre, aucun poète n’aurait pu chanter ses louanges, si grandes furent ses prouesses, si ardent son courage » (trad. Mathieu 1961, 133, retouchée).. <2> Mais, une fois qu’on eut célébré ses funérailles selon la coutume, avec la plus grande sollicitude et des manifestations de deuil tout à fait méritées, son frère puîné Dreux reçut le commandement de toute la Pouille3On apprend par Aimé II, 34, que Dreux succéda à son frère (« et fu fait conte de Puille de li vaillant chevalier normant ») et épousa la fille de Guaimar, renforçant ainsi les liens qui unissaient les Hauteville à la famille princière de Salerne, comme l’avait fait son aîné (sur la nature de ces liens – vassaliques ou fraternels –, voir Taviani-Carozzi 1991, 920-947). Guillaume de Pouille (II, 27-37) ajoute que la succession de Guillaume Bras de fer fut revendiquée par Pierre, fils d’Ami, seigneur de Trani. Le pouvoir des Hauteville sur les autres Normands s’affirme avec Dreux, quand Henri III investit celui-ci de son comté à Capoue le 3 février 1047, en même temps que Rainolf II d’Aversa. : c’était un homme, en un mot, digne d’éloges en tout point. <3> Suivant le conseil des Apuliens et des Normands, il nomma4Dreux devait nécessairement exercer une suprématie sur les autres Normands pour pouvoir ainsi nommer directement son cadet Onfroi comte de Lavello à la place d’Arnolin (Mor 1991, 233-235). comte dans la place forte qu’on nomme Lavello5Lavello, prov. Potenza, nord-est de Melfi. son frère Onfroi Abélard, un homme d’une très grande sagesse ; quant à Robert Guiscard6Selon Aimé II, 45, Robert fut d’abord rejeté par Dreux avant d’être placé en Calabre. Son arrivée doit dater de 1046 ou 1047 (Chalandon 1907, 117, n. 4), après la mort de Guillaume, mais avant l’expédition que Dreux organisa en Calabre en 1048, à laquelle Robert participa (Aimé III, 7). Guillaume de Pouille situe les débuts de Guiscard en Calabre après la mort de Dreux et la bataille de Civitate, si bien que c’est d’Onfroi, selon le poète, que Guiscard obtint la Calabre (voir Guil. Ap. II, 297-298), et c’est avec lui qu’il entra un temps en conflit. La pauvreté de Guiscard à son arrivée et sa petite noblesse sont souvent signalées par les chroniqueurs ; voir De Bartholomaeis 1935, 112-113, n. 2. Chez Malaterra, voir en particulier, I, 16., il le plaça en Calabre7Pour une description de la Calabre au moment de la conquête normande, tant du point de vue topographique que pour ce qui concerne l’habitat ou encore la situation politique, on se reportera aux nombreux travaux de V. von Falkenhausen, de G. Noyé, d’A.-M. Flambard Héricher, ou encore de Zinzi 1998. Sur l’histoire de l’occupation des Normands en Calabre, voir aussi Cuteri 2003a., fortifiant pour lui un château dans la vallée du Crati8La vallée du Crati contourne la Sila à l’ouest, puis au nord, avant de déboucher sur la mer Ionienne. Nicéphore Phocas l’avait reprise aux Sarrasins et l’avait munie de fortifications ; mais Guaimar V de Salerne avait assis sa domination sur la région et le long du littoral tyrrhénien jusqu’à Sant’Eufemia, quand il avait revêtu le titre de dux Apuliae et Calabriae en 1043. Ainsi, le territoire calabrais occupé par les Byzantins était divisé en deux parties : la première, située au sud de l’isthme de Catanzaro, était coupée par une zone lombarde de la seconde, la Lucanie, qui avait sans doute pour capitale Cassano. Cette zone lombarde, dont Guaimar V avait investi Dreux, passa entre les mains de Guiscard, à charge pour lui de « mettre au pas pour le compte de Salerne » les habitants de Cosenza et autres « rebelles » de Calabre (Noyé 1998, 110-111, et n. 142). Voir encore Givigliano 2003, 23 ; Burgarella 1999, 386-387 ; Burgarella 2000, 201-202., dans le lieu qu’on nomme Scribla9Scribla se situe dans la province de Cosenza. Noyé 1979, 210-211, indique que Scribla a été « formellement identifié aux ruines du Torrione, qui dominent les bâtiments modernes entourant la gare de Spezzano Albanese, à quelques kilomètres au sud-est de Castrovillari, dans le diocèse de Cassano (commune de Spezzano Albanese, territoire de Castrovillari). […] La fortification est construite dans l’angle formé par le confluent du Coscile et de l’Esaro, à l’endroit où la vallée du Crati s’élargit dans la plaine de Sibari, au milieu de l’isthme de ce nom ». L’identification du site a été confirmée par Flambard Héricher 2010, 3-8. Située sur une colline isolée, au carrefour de la Via Popilia et de l’axe secondaire qui réunit les mers Ionienne et Tyrrhénienne, elle occupe donc une position stratégique, d’où l’on peut surveiller la vallée du Crati. Selon Aimé III, 7, et Leo Ost. III, 15, p. 377, l. 16, Dreux fit don à Robert d’une forteresse en Calabre, nommée par erreur la rocche Saint Martin par le traducteur d’Aimé (Guéret-Laferté 2011, 313, corrige Saint Martin en Saint Marc), mais roccam Sancti Marci par Léon d’Ostie : il s’agit probablement de San Marco Argentano, où Robert ne s’établit que dans un second temps, après avoir quitté Scribla (voir infra, I, 16). Il reste à déterminer si firmare a le sens de « fortifier » ou de « construire » : Lupus mentionne déjà l’existence de la forteresse en 1044, tandis qu’il n’en dit rien en 1048. Sur ce point, voir Noyé 1979, 213-214, et Flambard Héricher 1994, 91., afin qu’il soumît par les armes les habitants de Cosenza10Cosenza est un chef-lieu de province de la région de Calabre. et ceux qui faisaient encore acte de rébellion en Calabre.

<1> Igitur seniore fratre, GuillelmoGuillelmoGuillelmoWillelmoGuilielmo videlicet comite, infirmitate praeveniente [+] [praeveniente AC Z : superve- B Pontieri. [-]] praevenientepraevenientepraevenientesuperveniente defuncto, magnus dolor omnes Normannos [+] [a norm[annos — usque ad I, 14, 3 machinamenta def. A. [-]] NormannosNormannosNormannosNormannosNorm... invasit, quippe qui [+] [qui C Z : quia B Pontieri. [-]] quiquiquia tanti consilii virum, tam armis strenuum, tam sibi munificum, affabilem [+] [post affabilem add. et B Pontieri. [-]] affabilemaffabilemaffabilem et, morigeratum ulterius se habere diffidebant. <2> Sed exequiis ex more accuratissime [+] [ex more accuratissime post planctu transt. B. [-]] et [+] [et om. B. [-]] cum maximo [+] [maximo C Z : magno B. [-]] planctuex more accuratissime et cum maximo planctuex more accuratissime et cum maximo planctuex more accuratissime et cum maximo planctucum magno planctu ex more accuratissime non immerito celebratis, secundus frater Drogo totius Apuliae dominatum suscepit, vir quidem, ut succincte dicamus, cuncta [+] [cuncta C : cunctis B per cuncta Z ed. pr. [-]] per cunctacunctisa'Z, seul, donne la préposition per, qui est ainsi suspecte ; l’accusatif neutre de relation est tout à fait régulier : voir Wölfflin 1885 ; C. F. W. Müller, Syntax des Nominativs und Akkusativs im Lateinischen, Leipzig – Berlin, B. G. Teubner (Historische Grammatik der lateinischen Sprache ; Supplement), 1908, p. 88 ; Ernout & Thomas 1953, 27-28 ; Hofmann & Szantyr 1965, 38. C’est l’absence de préposition (peut-être aussi la méconnaissance du tour) qui a conduit le scribe de B à corriger cuncta en cunctis. laudabilis. <3> Hic fratrem suum, HunfredumHumifredumHunifredumUmfredum Abagelardum [+] [abagelardum C B Ca : -do Z ed. pr. [-]] AbagelardumAbagelardumAbagelardumAbagelardo, comitem apud castrum quod Lavel [+] [lavel C Z : revelle B. [-]] LavelLavelLavelrevelle dicitur, virum prudentissimum, consilio Apuliensium [+] [apuliensium C ZB : -leiensium ed. pr. ut semper. [-]] ApuliensiumApuliensiumApuliensiumApuleiensium et [+] [et om. C. [-]] etetet[om.] Normannorum ordinavit, Robertum vero Guiscardum [+] [guiscardum C B : gis- Z. [-]] GuiscardumGuiscardumGuiscardumGiscardum in Calabria posuit, firmans ei [+] [ei ZB : et C. [-]] eieieietb'La confusion et / ei dans C n’est pas isolée. On retrouve et pour ei en I, 23, 1 : ei potius quam sibi ; I, 29 : concedens ei medietatem totius Calabriae ; II, 12, 2 : mandans ei quatenus castrum in valle Gratensi [+] [gratensi C Z : grati in B cratensi in Pontieri. [-]] GratensiGratensigrati incratensi in, loco qui [+] [qui C ZBx : quae B. [-]] quiquiqui [+] [Bx : qui [-]] quae Scribla [+] [scribla Z : stri- C strilla B. [-]] ScriblaScriblaStriblaStrillac'Les variantes de ce toponyme dans les manuscrits de Malaterra – B mis à part – portent essentiellement sur la consonne c/t : scribla Z : stri- C strilla B ; I, 16, 1 scriblam A : stri- C Z xillam B ; II, 36, 5 scriblam edd. : stri- C Z stribam B. En revanche, les noms diffèrent dans les autres sources médiévales : voir Lupus Protospatarius, Annales, ad an. 1044 : Stridulam castellum ; on trouve aussi Stregola, Strada et Antonium de Stridola dans des sources citées et étudiées par Noyé 1979, 210, 219, 221. dicitur, ad debellandos [+] [debellandos (-land̃ Z ut vid.) C ZB : -dum ed. pr. [-]] debellandosdebellandosdebelland̃*debellandos ut vid.debellandumd'La finale de debellandos dans Z, abrégée par suspension, peut être diversement interprétée, d’où la lecture -dum de Zurita. Cusentinos [+] [cusentinos C ZB : cons- ed. pr. [-]] CusentinosCusentinosCusentinosConsentinos et eos qui adhuc in Calabria rebelles [+] [rebelles post erant transt. Z ed. pr. [-]] erantrebelles erantrebelles eranterant rebelles.

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1La mort de Guillaume Bras de fer se situe entre septembre 1045 et août 1046 ; voir Lupus Protospatarius, Annales, ad an. 1046.

2De même, Aimé II, 34, rapportant la mort du chevalier, fait son éloge : « En cellui temps meismes, […] fu mort Guillerme, conte de Puille, home sage et singuler ». Voir aussi Guil. Ap. II, 23-26 : vir ferrea dictus habere / Brachia Guilermus, cui vivere si licuisset, / Nemo poeta suas posset depromere laudes, / Tanta fuit probitas animi, tam vivida virtus, « on dit de Guillaume qu’il avait un bras de fer : s’il lui avait été donné de vivre, aucun poète n’aurait pu chanter ses louanges, si grandes furent ses prouesses, si ardent son courage » (trad. Mathieu 1961, 133, retouchée).

3On apprend par Aimé II, 34, que Dreux succéda à son frère (« et fu fait conte de Puille de li vaillant chevalier normant ») et épousa la fille de Guaimar, renforçant ainsi les liens qui unissaient les Hauteville à la famille princière de Salerne, comme l’avait fait son aîné (sur la nature de ces liens – vassaliques ou fraternels –, voir Taviani-Carozzi 1991, 920-947). Guillaume de Pouille (II, 27-37) ajoute que la succession de Guillaume Bras de fer fut revendiquée par Pierre, fils d’Ami, seigneur de Trani. Le pouvoir des Hauteville sur les autres Normands s’affirme avec Dreux, quand Henri III investit celui-ci de son comté à Capoue le 3 février 1047, en même temps que Rainolf II d’Aversa.

4Dreux devait nécessairement exercer une suprématie sur les autres Normands pour pouvoir ainsi nommer directement son cadet Onfroi comte de Lavello à la place d’Arnolin (Mor 1991, 233-235).

5Lavello, prov. Potenza, nord-est de Melfi.

6Selon Aimé II, 45, Robert fut d’abord rejeté par Dreux avant d’être placé en Calabre. Son arrivée doit dater de 1046 ou 1047 (Chalandon 1907, 117, n. 4), après la mort de Guillaume, mais avant l’expédition que Dreux organisa en Calabre en 1048, à laquelle Robert participa (Aimé III, 7). Guillaume de Pouille situe les débuts de Guiscard en Calabre après la mort de Dreux et la bataille de Civitate, si bien que c’est d’Onfroi, selon le poète, que Guiscard obtint la Calabre (voir Guil. Ap. II, 297-298), et c’est avec lui qu’il entra un temps en conflit. La pauvreté de Guiscard à son arrivée et sa petite noblesse sont souvent signalées par les chroniqueurs ; voir De Bartholomaeis 1935, 112-113, n. 2. Chez Malaterra, voir en particulier, I, 16.

7Pour une description de la Calabre au moment de la conquête normande, tant du point de vue topographique que pour ce qui concerne l’habitat ou encore la situation politique, on se reportera aux nombreux travaux de V. von Falkenhausen, de G. Noyé, d’A.-M. Flambard Héricher, ou encore de Zinzi 1998. Sur l’histoire de l’occupation des Normands en Calabre, voir aussi Cuteri 2003a.

8La vallée du Crati contourne la Sila à l’ouest, puis au nord, avant de déboucher sur la mer Ionienne. Nicéphore Phocas l’avait reprise aux Sarrasins et l’avait munie de fortifications ; mais Guaimar V de Salerne avait assis sa domination sur la région et le long du littoral tyrrhénien jusqu’à Sant’Eufemia, quand il avait revêtu le titre de dux Apuliae et Calabriae en 1043. Ainsi, le territoire calabrais occupé par les Byzantins était divisé en deux parties : la première, située au sud de l’isthme de Catanzaro, était coupée par une zone lombarde de la seconde, la Lucanie, qui avait sans doute pour capitale Cassano. Cette zone lombarde, dont Guaimar V avait investi Dreux, passa entre les mains de Guiscard, à charge pour lui de « mettre au pas pour le compte de Salerne » les habitants de Cosenza et autres « rebelles » de Calabre (Noyé 1998, 110-111, et n. 142). Voir encore Givigliano 2003, 23 ; Burgarella 1999, 386-387 ; Burgarella 2000, 201-202.

9Scribla se situe dans la province de Cosenza. Noyé 1979, 210-211, indique que Scribla a été « formellement identifié aux ruines du Torrione, qui dominent les bâtiments modernes entourant la gare de Spezzano Albanese, à quelques kilomètres au sud-est de Castrovillari, dans le diocèse de Cassano (commune de Spezzano Albanese, territoire de Castrovillari). […] La fortification est construite dans l’angle formé par le confluent du Coscile et de l’Esaro, à l’endroit où la vallée du Crati s’élargit dans la plaine de Sibari, au milieu de l’isthme de ce nom ». L’identification du site a été confirmée par Flambard Héricher 2010, 3-8. Située sur une colline isolée, au carrefour de la Via Popilia et de l’axe secondaire qui réunit les mers Ionienne et Tyrrhénienne, elle occupe donc une position stratégique, d’où l’on peut surveiller la vallée du Crati. Selon Aimé III, 7, et Leo Ost. III, 15, p. 377, l. 16, Dreux fit don à Robert d’une forteresse en Calabre, nommée par erreur la rocche Saint Martin par le traducteur d’Aimé (Guéret-Laferté 2011, 313, corrige Saint Martin en Saint Marc), mais roccam Sancti Marci par Léon d’Ostie : il s’agit probablement de San Marco Argentano, où Robert ne s’établit que dans un second temps, après avoir quitté Scribla (voir infra, I, 16). Il reste à déterminer si firmare a le sens de « fortifier » ou de « construire » : Lupus mentionne déjà l’existence de la forteresse en 1044, tandis qu’il n’en dit rien en 1048. Sur ce point, voir Noyé 1979, 213-214, et Flambard Héricher 1994, 91.

10Cosenza est un chef-lieu de province de la région de Calabre.

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a'Z, seul, donne la préposition per, qui est ainsi suspecte ; l’accusatif neutre de relation est tout à fait régulier : voir Wölfflin 1885 ; C. F. W. Müller, Syntax des Nominativs und Akkusativs im Lateinischen, Leipzig – Berlin, B. G. Teubner (Historische Grammatik der lateinischen Sprache ; Supplement), 1908, p. 88 ; Ernout & Thomas 1953, 27-28 ; Hofmann & Szantyr 1965, 38. C’est l’absence de préposition (peut-être aussi la méconnaissance du tour) qui a conduit le scribe de B à corriger cuncta en cunctis.

b'La confusion et / ei dans C n’est pas isolée. On retrouve et pour ei en I, 23, 1 : ei potius quam sibi ; I, 29 : concedens ei medietatem totius Calabriae ; II, 12, 2 : mandans ei quatenus

c'Les variantes de ce toponyme dans les manuscrits de Malaterra – B mis à part – portent essentiellement sur la consonne c/t : scribla Z : stri- C strilla B ; I, 16, 1 scriblam A : stri- C Z xillam B ; II, 36, 5 scriblam edd. : stri- C Z stribam B. En revanche, les noms diffèrent dans les autres sources médiévales : voir Lupus Protospatarius, Annales, ad an. 1044 : Stridulam castellum ; on trouve aussi Stregola, Strada et Antonium de Stridola dans des sources citées et étudiées par Noyé 1979, 210, 219, 221.

d'La finale de debellandos dans Z, abrégée par suspension, peut être diversement interprétée, d’où la lecture -dum de Zurita.