M : | Montesquieu 1726/1727-1755. |
D : | Bottereau-Duval 1718-1731. |
E : | 1734-1739. |
U : | 1739. |
H : | 1741-1742. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
I : | 1743. |
L : | 1743-1744. |
O : | 1745-1747. |
P : | Damours 1748-1750. |
Q : | 1750-1751. |
R : | Saint-Marc 1751-1754. |
S : | 1754-1755. |
V : | 1754. |
JB : | Jean-Baptiste Secondat ?-1795. |
T : | écriture des manchettes 1828-1835 |
M : | Montesquieu. |
D : | Bottereau-Duval_1721-1731. |
H : | 1741-1742. |
P : | Damours_1748-1750. |
E : | 1734-1739. |
L : | 1742-1744. |
O : | 1745-1747. |
T : |
écriture des manchettes |
JB : | Jean-Baptiste_Secondat. |
J : | 1742. |
K : | 1742-1743. |
F : | 1743. |
E2 : | |
I : | 1743. |
R : | Saint-Marc_1751-1754. |
Pensées, volume I
616
Dans Assassinat du duc de Guise dans quelques circonstances que le roy se trouvat il est impossible d’approuver ce qu’il fit il faut ou condamner cette action ou pour l’honneur de la vertu n’en porter point de jujement mais pour Loignac et ses 45 ils resteront toujours couverts d’une æternelle infamie[1]
|
Main principale M |
617 L’envie de Philipe 2d de voir sa fille sur le throne de France et celle de Louis 14 de voir son petit-fils sur celui d’Espagne ont egallement affoibly leur puissance[1]
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Main principale M |
618
{f. 450v}
Papes - - - - - |
Main principale M |
619 Chancelier de L’Hopital - - - - - |
Main principale M |
620 Le roy d’Espagne estoit catholique de bonne foy c’est a dire d’une relligion qui accomodoit si bien son ambition
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Main principale M |
616 |
n1. |
Cf. Réflexions sur le caractère de quelques princes et sur quelques événements de leur vie, OC, t. 9, p. 65, l. 341-346 ; et EL, IV, 2 : Derathé, t. I, p. 38. Henri III confia aux Quarante-cinq, compagnie créée en 1585 pour assurer sa protection particulière et commandée par Honorat de Montpezat, seigneur de Laugnac (et non « Loignac »), l’assassinat du duc de Guise, tué le 23 décembre 1588 au château de Blois (Davila, Histoire des guerres civiles de France. Contenant tout ce qui s’est passé de plus mémorable sous le règne de quatre rois, François II, Charles IX, Henry III et Henry IV, surnommé le Grand ; jusques à la paix de Vervins, inclusivement, 2e éd., J. Baudouin (trad.), Paris, P. Rocolet, 1647, liv. IX, t. I, p. 642 – Catalogue, nº 2927 ; Maimbourg, Histoire de la Ligue, Paris, S. Mabre-Cramoisy, 1683, liv. III, p. 276). |
617 |
n1. |
Cf. Réflexions sur le caractère de quelques princes et sur quelques événements de leur vie, OC, t. 9, p. 55, l. 72-74. L’Espagne avait revendiqué le trône de France pour Isabelle-Claire-Eugénie (1566-1633), fille de Philippe II, nièce d’Henri III, au préjudice d’Henri de Navarre (1593). Le petit-fils de Louis XIV, le duc d’Anjou (1683-1746), était appelé au trône d’Espagne par le testament de Charles II qui le désignait comme héritier. |
618 |
n1. |
Sur ce pape, voir l’Histoire de France depuis Faramond [...], de Mézeray (Paris, J. Guignard et C. Barbin, 1685, t. II, p. 772, 833). Passage repris plus loin, dans l’ébauche d’histoire de France, au nº 1302, « Louis XII ». |
619 |
n1. |
Cf. nº 1258. Michel de L’Hospital (env. 1505-1573), nommé chancelier de France en 1560, prôna constamment une politique de modération, anéantie par sa disgrâce en 1568. Sur les éloges du personnage par les historiens, voir Bayle, Dictionnaire historique et critique, Rotterdam, Reinier Leers, 1702, t. II, art. « Hospital », p. 1609. |