Afficher Masquer
Passages biffés :
Sauts de pages :
Changements de mains :
Mots clés en marge
(main T) :
DistinguerIntégrer
Corrections du transcripteur :

Fermer

Accueil|Présentation du projet|Abréviations|Introductions|Texte|Index

Français|English Contacts

Volume I|Volume II|Volume III|Citer le texte et les notes| Écritures|Affichage

Pensées 2123 à 2127

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

Fermer

M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.
Q : 1750-1751.
S : 1754-1755.
V : 1754.

Fermer

Pensées, volume III

2123

Je trouvois a Vienne les ministres tres affables je leur disois vous estes des ministres le matin et des hommes le soir[1]

Main principale M

2124

Mon ami monsieur Faulkes[1] president de la Societe royale si on m’avoit demendé quels deffauts il avoit dans le coeur et dans l’esprit j’aurois esté embarrassé de repondre.

Main principale M

2125

{f.350v} Il me sembloit que le chevalier Metuezen[1] ne scavoit jamais que la motié des choses :

Main principale M

2126

J’ay connu milord Bullimbrooke et je l’ay deconnu je ne me souciois pas d’aprendre la morale sous luy[1]

- - - - -

Main principale M

2127

Il me semble que nous avons deux sortes d’esprits forts. Des petits maitres qui nient un dieu qu’ils croyent et de certeins precheurs qui [un mot biffé non déchiffré] prechent un dieu qu’ils ne croyent pas

Main principale M


2123

n1.

Sur ces rencontres à Vienne entre le 30 avril et le 9 juillet 1728, voir Voyages, p. 13-17.

2124

n1.

Voir nº 1953.

2125

n1.

Lecture conjecturale. Peut-être Sir Paul Methuen (1672-1757), chevalier du Bain, diplomate, devenu trésorier de la maison du roi d’Angleterre en 1725 et qui occupait cette fonction lors du séjour de Montesquieu outre-Manche, fils de John Methuen qui a donné son nom à un traité commercial entre l’Angleterre et le Portugal ; voir nº 1966.

2126

n1.

Sur Bolingbroke (« Bullimbrooke »), voir nº 1132, 1658.