Afficher Masquer
Passages biffés :
Sauts de pages :
Changements de mains :
Mots clés en marge
(main T) :
DistinguerIntégrer
Corrections du transcripteur :

Fermer

Accueil|Présentation du projet|Abréviations|Introductions|Texte|Index

Français|English Contacts

Volume I|Volume II|Volume III|Citer le texte et les notes| Écritures|Affichage

Pensées 1778 à 1782

M :Montesquieu 1726/1727-1755.
D :Bottereau-Duval 1718-1731.
E :1734-1739.
U :1739.
H :1741-1742.
J :1742.
K :1742-1743.
F :1743.
I :1743.
L :1743-1744.
O :1745-1747.
P :Damours 1748-1750.
Q :1750-1751.
R :Saint-Marc 1751-1754.
S :1754-1755.
V :1754.
JB :Jean-Baptiste Secondat ?-1795.
T :écriture des manchettes 1828-1835

Fermer

M : Montesquieu.
D : Bottereau-Duval_1721-1731.
H : 1741-1742.
P : Damours_1748-1750.
E : 1734-1739.
L : 1742-1744.
O : 1745-1747.
T : écriture des manchettes
JB : Jean-Baptiste_Secondat.
J : 1742.
K : 1742-1743.
F : 1743.
E2 :
I : 1743.
R : Saint-Marc_1751-1754.
Q : 1750-1751.
S : 1754-1755.
V : 1754.

Fermer

Pensées, volume III

1778

Je suis obligé de tenir les cotes, et je suis oblige vouderois[1] voguer en pleine mer[2]

- - - - -

Main principale P

1779

{f.71v} Comme les loix de quelque religion que ce soit sont de nature à ne pouvoir etre changées il faut qu’un legislateur sage ne renverse pas mais elude celles qui sont prejudiciables[1].

- - - - -

Main principale P

1780

Quand on ote quelque liberté naturelle, il faut que l’avantage visible que l’on en retire console de la perte de cette faculté.
Quand une chose bonne à un inconvenient il est ordinairement plus prudent d’ôter l’inconvenient que la chose.

- - - - -

Main principale P

1781

* La magie aiant èté decreditée elle est degeneree degenerée en sorcelerie qui est parmi nous le merveilleux du peuple, c’est l’accusation qui fait le crime et tous les autres de cette espece les peuples ne les doivent qu’a la conduite de {f.72r} leurs magistratures. Il faut bien disent-ils que la magie existe puisque le legislateur dans la sagesse duquel je me confie à fait une loy pour la punir. Il faut bien que cet acte de magie ait èté fait, puisque les juges qui apportent dans leurs jugemens la plus grande attention dont la nature humaine soit capable l’ont decidé ainsi[1].

- - - - -

Main principale P

1782

* Esclaves affranchis, multitude de nouveaux pauvres qui ne l’etoient pas auparavant, ce fut une revolution que fit le christianisme[1]

- - - - -

Main principale P


1778

n1.

Lire : voudrais.

1778

n2.

Cf. nº 1802.

1779

n1.

Cf. EL, XXV, 11.

1781

n1.

Montesquieu insiste, dans L’Esprit des lois, sur la prudence nécessaire dans la poursuite des délits relatifs à la magie (XII, 5).

1782

n1.

Cf. EL, XV, 7 (in fine).