Département des études nordiques

Caen · campus 1 · Bât. I (MLI) · 3e étage

9h-12h | 13h30-17h (16h30 le vendredi)

Dany BELLEROSE, gestionnaire de scolarité | bureau LI 304 | lve.nordiques@unicaen.fr | 02 31 56 58 03

L’étude des langues et des cultures nordiques à l’université de Caen Normandie s’inscrit déjà dans une tradition ancienne. Dès 1951, les premiers enseignements de langues scandinaves y sont donnés, mais il faut attendre 1956 pour que le danois et le suédois prennent une place à part entière avec la création de deux lectorats. Le norvégien et l’islandais les rejoindront ainsi respectivement en 1959 et en 1961. Enfin, le finnois fera son entrée à l’Université en 1981.

Depuis la rentrée 2017, l’université de Caen Normandie est la seule en France à proposer des formations diplômantes complètes en études nordiques allant de la Licence au Doctorat pour les cinq langues nordiques : danois, finnois, islandais, norvégien et suédois.

Formations en études nordiques

À CONSULTER

Licence LLCER, parcours études nordiques (guide des études) Télécharger

Master LLCER, parcours études culturelles (guide des études) Télécharger

Master LLCER, parcours linguistique multilingue (guide des études) Télécharger

Les langues nordiques enseignées à Caen

Apprendre une langue nordique à l’université de Caen Normandie

Le danois, l’islandais, le norvégien et le suédois sont des langues germaniques, au même titre que l’anglais et l’allemand, et partagent avec ces derniers de nombreux traits grammaticaux et lexicaux. Apprendre le finnois, langue de la famille finno-ougrienne, c’est en revanche s’initier à un autre univers linguistique, à une autre manière d’exprimer les choses…

Les enseignements étant proposés au niveau grand débutant, on peut accéder à la 1ère année du parcours études nordiques de la Licence LLCER sans en avoir préalablement étudié la langue de spécialité.

Apprendre une langue nordique, c’est…

  • une invitation à découvrir de vastes territoires qui présentent une grande variété de paysages souvent grandioses ;
  • aller à la rencontre d’une population de près de 25 millions d’habitants qui a su, au cours des siècles, façonner un art de vivre original ;
  • se familiariser avec de riches traditions culturelles qui ont engendré des personnalités de la littérature, des sciences et des arts reconnues dans le monde entier ;
  • mieux connaître et se rapprocher de pays qui font partie de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen et sont donc nos partenaires politiques, économiques et culturels ; 
  • découvrir un mode de fonctionnement social et économique réactif et dynamique souvent érigé en modèle ; 
  • acquérir une spécificité rare et originale qui s’avèrera utile dans le cadre de relations franco-nordiques : tourisme, culture, liens avec de nombreuses entreprises – dont certaines font partie de notre quotidien – qui sont implantées en France ou travaillent régulièrement avec des entreprises françaises.

Car les relations franco-nordiques demeurent un terrain encore trop peu défriché dont la mise en valeur n’attend que de nouvelles initiatives…

Poursuites d’études

La Licence LLCER d’études nordiques donne accès au Master, 1re année. Elle donne également la possibilité de s’inscrire à tous les concours de la fonction publique nécessitant un niveau Bac + 3.

Objectifs de la formation

À l’issue de leur formation, les étudiants doivent avoir acquis une maîtrise de la langue étudiée et, pour parfaire leurs compétences, un séjour ERASMUS est fortement recommandé. Ils doivent en outre avoir une connaissance des cultures et des sociétés des pays nordiques qui leur permettra de comprendre le monde nordique ancien, moderne et contemporain. Ils doivent être capables de mener une réflexion linguistique et connaître la complexité des techniques de la traduction. Ainsi, les connaissances approfondies en langues, littératures et civilisations nordiques qu’offre la Licence d’études nordiques constituent un atout professionnel appréciable dans l’Europe multiculturelle et plurilingue, contemporaine et future.

Bien que les pays scandinaves aient beaucoup en commun, le Danemark possède bien sûr ses particularités aux niveaux de la langue, de la culture et de l’histoire.

Prenons par exemple les grands écrivains et artistes danois, du philosophe existentialiste Søren Kierkegaard à l’enfant terrible du cinéma contemporain, Lars von Trier, en passant par les conteurs Hans Christian Andersen et Karen Blixen qui ont exercé une grande influence sur la littérature mondiale.

À l’époque contemporaine, le Danemark se distingue également en tant que pays visionnaire dans plusieurs domaines – de la gastronomie célébrée de René Redzepi, créateur de Noma à Copenhague, aux tentatives d’innover et de répandre l’énergie éolienne dans le monde entier. Cela signifie-t-il que la société danoise ne se repose jamais ? Non, car les Danois aiment beaucoup passer de bons moments tranquilles au sein de la famille ou entre amis, fait social dont témoigne le concept de « hygge » qui est devenu un symbole du bonheur nordique cultivé dans la vie quotidienne.

Puis, l’esprit d’innovation des Danois ne se montre pas vraiment à travers leur langue, caractérisée par une extraordinaire simplicité grammaticale. Cela dit, cette simplicité est quelque peu contrebalancée par un certain nombre de curiosités phonétiques et un grand écart entre la langue écrite et la langue parlée. Le ‘d’ mou [ð], les vastes variations dans les sons de voyelles ou encore l’assimilation qui enlève des syllabes dans la prononciation comptent parmi ces curiosités que l’on saura, bien évidemment, vous enseigner.

Apprendre une langue étrangère, c’est aussi ouvrir la porte à une autre culture. Ici, au Département d’Études Nordiques à Caen, nous vous invitons donc à vous plonger dans la riche culture danoise. En plus de vous faire accéder à celle-ci, la formation pourrait également vous permettre de travailler dans les domaines de la traduction, du tourisme, de l’enseignement, du journalisme ou dans le commerce – au Danemark, ou bien en France où l’intérêt pour le Danemark est toujours vivant.

« Mystérieuse, belle et rare. » « Compliquée mais unique. » « Poétique, harmonieuse, presque mathématique. » « Déroutante au début mais extrêmement logique à la fin. » 

Voici les mots avec lesquels les étudiants de finnois décrivent leur langue de spécialité.

Choix d’étude original, la langue finnoise donne accès à la compréhension d’une culture nordique au croisement de l’Est et de l’Ouest. Apprendre le finnois et se spécialiser dans la société et la culture qu’il porte, ensemble avec le suédois, la deuxième langue officielle du pays, permet d’acquérir une expertise rare en France et de comprendre l’Europe dans sa diversité.

Se consacrer aux métiers de l’enseignement ou du livre ; travailler dans le tourisme en France, en Suisse ou en Laponie ; devenir chercheur en histoire politique ou en études sur la musique métal ; poursuivre la formation dans une université d’art à Helsinki… Les parcours adoptés par les anciens étudiants à la suite de leurs études de finnois à l’Université de Caen sont multiples. Tous reflètent les compétences acquises, nécessaires pour travailler dans des milieux interculturels, ainsi qu’une curiosité que les connaissances accumulées n’ont fait qu’accroître.

Pays de contrastes, la Finlande est habitée par une population qui apprécie aussi bien la silence des forêts que le tonnerre de la musique métal. Certains se baignent d’abord dans la chaleur du sauna pour se jeter ensuite dans l’eau glaciale du lac. On connaît la Finlande pour sa modernité : son système d’éducation performant, ses avancées en matière d’égalité femmes-hommes et ses moments forts en innovations technologiques. Mais on l’associe également avec une tradition orale très ancienne (« kalévaléenne ») ou encore le charme retro du cinéma minimaliste et mélancolique de Kaurismäki.

Les études approfondies de la culture finlandaise ouvrent des perspectives pour rendre compte des codes culturels et des évolutions sociales et politiques de l’Europe du nord derrière ces facettes parfois contradictoires.

Tout aussi surprenant, le finnois appartient aux langues finno-ougriennes, une famille différente de celle des langues indo-européennes, ce qui la distingue de la plupart des langues parlées en Europe. Avec ses quinze cas, le système de déclinaison du finnois est complexe mais logique, son vocabulaire unique, alors que les règles de prononciation restent très simples. Riche en voyelles, le finnois s’écoule en ondulant : « Alavilla mailla hallanvaara » — « Aja hiljaa sillalla ». Ponctué de consonnes dures, il peut aussi se faire rocailleux : « Älä rääkkää sitä kääkkää. — No en rääkkääkään! »

Pour comprendre le sens de ces phrases, rendez-vous en cours de finnois !

Un jour peut-être, vous irez en Islande et serez frappés par la beauté à couper le souffle des paysages sublimes, mais aussi par l’absence de monuments.

Où sont les vieilles pierres, les beaux bâtiments, les maisons anciennes, penserez-vous sans doute en ce pays qui est le plus jeune d’Europe par sa géologie ? Eh bien, il n’y en a pas ou presque pas. Le monument le plus grandiose de l’Islande n’est ni visible ni visitable. En revanche, il suffit d’aller dans un bar, dans les bassins des piscines en plein air et chauffées à la géothermie ou d’allumer la radio nationale pour entendre le bruissement d’un monument grandiose.

Ici, on parle une langue venue du fond des âges, et qui nous a été transmise pratiquement intacte. Ici, on lit les textes du Moyen Âge presque aussi facilement qu’on lirait le journal. Lorsqu’on se promène dans Reykjavík, certaines rues portent le nom de héros et d’héroïnes des sagas et des Eddas. Ici, la langue n’est pas simplement un moyen de communication, elle est avant tout expression culturelle et identité. On ne recourt que très rarement aux emprunts étrangers, on préfère former des mots à partir d’anciennes racines nordiques. Ce n’est pas que les Islandais soient nationalistes à ce point, mais ils savent qu’ils parlent une langue vénérable. Ils savent qu’ils lui doivent le plus grand respect. Ils sont conscients d’être les dépositaires d’un héritage qui offre un accès privilégié vers le monde germanique et les autres langues nordiques, un peu comme le latin pour les Français, les Italiens et les autres peuples romans.

Les verbes continuent d’être véritablement conjugués, les noms et les adjectifs se déclinent, ce qui n’est pas le cas dans les autres langues scandinaves. L’islandais est archaïque, mais cela ne signifie en rien qu’il manque de finesse ou de souplesse. Bien au contraire, il possède tous les moyens de cerner aussi les temps modernes. C’est naturellement qu’on crée des néologismes dont le sens est transparent afin d’exprimer le quotidien d’aujourd’hui. Ainsi, tölva, formé sur völva, une voyante, et sur telja, compter, désigne un ordinateur. SjÓnvarp, formé sur sjÓn, la vue et sur varpa, envoyer, lancer, est la télévision. Þyrla (prononcer le þ comme le th anglais de thin), un verbe qui signifie tournoyer, désigne également un hélicoptère. Psychologie se dit sÁlfræði, science de l’âme, etc. etc. etc. L’islandais est une langue magnifique, une langue de culture : riche, complexe et musicale. Certes, sa prononciation est un peu âpre, mais on finit par l’acquérir, sa grammaire semble parfois hermétique, mais tout s’apprend.

Ainsi, au terme d’une aventure passionnante, lorsque vous connaîtrez cette langue, vous comprendrez aussi bien les textes anciens que la littérature moderne, laquelle est d’une vitalité étonnante quand on pense que les Islandais ne sont aujourd’hui que 330 000, vous pourrez lire en version originale les auteurs d’aujourd’hui et – pourquoi pas – les traduire.

Le norvégien est une langue germanique qui a pour racine le norrois – la langue médiévale des pays scandinaves de l’ouest.

Comme les autres langues scandinaves, le norvégien est une langue assez simple au niveau de la grammaire. Le système verbal, par exemple, est beaucoup moins complexe que le système français : les temps sont moins nombreux, il n’y a pas de subjonctif, pas plus que de réelle conjugaison.

Le norvégien est pourtant une langue où règne une grande diversité. Les dialectes diffèrent beaucoup entre eux. Regardez, par exemple, le pronom jeg (je). Selon la région d’où on vient, on dit [jεi], [eg], [e], [i], [ej], [je], [ag] ou [a]. Les dialectes sont largement acceptés dans la société norvégienne, on peut donc les entendre à la télé, à la radio, au parlement etc.

Il existe également deux formes de norvégien à l’écrit – toutes les deux sont langues écrites officielles en Norvège. Bokmål (« la langue des livres ») est le résultat d’une « norvégianisation » du danois, qui était la langue écrite et parlée par les élites en Norvège pendant les siècles où le pays était une colonie danoise. Le Nynorsk (« néo-norvégien ») est une langue écrite créée sur la base des dialectes norvégiens. Aujourd’hui, le bokmål est la langue écrite majoritaire en Norvège, et la langue écrite enseignée à l’Université de Caen, mais on lit aussi des textes en nynorsk.

Henrik Ibsen – souvent appelé le « père du théâtre moderne » – est l’écrivain norvégien le plus connu. L’écrivain irlandais James Joyce apprit même le norvégien afin de pouvoir lire l’œuvre d’Ibsen dans le texte ! Parmi les classiques on peut aussi mentionner Sigrid Undset qui reçut le prix Nobel pour ses romans historiques, ainsi que Knut Hamsun. Le roman philosophique Sofies verden (Le monde de Sophie) de Jostein Gaarder est sans doute l’un des ouvrages les plus connus de la littérature contemporaine norvégienne, mais il ne faut pourtant pas oublier les polars de Gunnar Staalesen et Jo Nesbø.

Quant à la musique, la Norvège est l’un des plus grands exportateurs de black métal au monde, même si beaucoup de Norvégiens ignorent ce fait. D’autres groupes norvégiens comme A-ha et Röyksopp ont aussi connu un succès énorme hors de la Norvège.

Le pétrole de la Mer du Nord assure la prospérité de la Norvège depuis les années 1970, et il reste l’une des ressources les plus importantes pour l’économie nationale. En même temps, beaucoup de recherches sont conduites en vue de pouvoir exploiter ces ressources d’une manière plus durable, et aussi de trouver d’autres sources d’énergie.

L’égalité et la parité sont des valeurs importantes dans la société norvégienne. Par exemple, les femmes ont le droit de vote depuis 1913 et la discrimination positive se pratique dans un grand nombre d’entreprises.

Connaître une langue étrangère est toujours un avantage, et le norvégien pourra vous aider si vous souhaitez travailler dans l’enseignement en France ou en Norvège, dans la traduction technique ou littéraire, dans le journalisme, dans le secteur du pétrole ou dans d’autres entreprises en Norvège.

Le suédois est une langue germanique parlée en Suède, en Finlande et sur l’archipel d’Åland.

On dit souvent que c’est une langue mélodieuse, avec ses accents toniques qui montent et descendent au rythme d’une profusion de voyelles. Ce qui saute aux yeux, ce sont les lettres å, ä et ö. Le suédois est une langue à la conjugaison et à la grammaire simples, sans déclinaisons, et dans laquelle les mots peuvent être modifiés par des ajouts de préfixes, suffixes ou par la formation de mots composés. Dans la conjugaison, la personne n’a la plupart du temps aucune incidence sur la forme verbale. On forme facilement de nouveaux mots par synthèse. Regardez, par exemple, le mot « fredagsmys » composé de « fredag » (vendredi) et de « mys » (détente), c’est-à-dire, la détente en famille ou entre amis le vendredi soir, qui est devenu un maître mot de la culture suédoise. Et le mot « människovänlig » qui signifie humain et convivial, construit sur « människa » (homme, être humain) et sur « vänlig » (gentille, convivial).

La grande diversité de la nature et du climat constitue le fond de l’expression artistique en Suède. Saviez-vous qu’en suédois il existe au moins une vingtaine de mots pour « neige » : « snö », « skare », « modd », « dagsmeja » etc.

Un certain nombre de designers suédois sont célèbres : la Suède compte beaucoup de créateurs de talent qui travaillent à l’international pour des entreprises comme IKEA et H&M. Une génération de nouveaux talents fait aujourd’hui son chemin ; ils seront sans doute bientôt des créateurs consacrés.

Les films sur les inspecteurs Kurt Wallander et Martin Beck, et, bien entendu l’œuvre de l’icône du cinéma Ingmar Bergman ont été le premier contact de beaucoup de Français avec la Suède, de même que la musique de The Hives, The Hellacopters et ABBA.

Technologies de pointe, abondance de ressources naturelles et fort potentiel d’énergies renouvelables, la Suède est en bonne place à l’heure où s’engage une transition mondiale vers des systèmes énergétiques plus durables.

On connaît aussi l’approche suédoise de l’équité. La Suède est l’un des pays où la parité est la plus respectée.

Cette constante évolution de la société suédoise se reflète dans la littérature et dans la langue. Si les jeunes Français n’ont pas fait la connaissance de Nils Holgerssons underbara resa (Le merveilleux voyage de Nils Holgersson) de Selma Lagerlöf, la première femme à recevoir le Prix Nobel de littérature, en 1909, ou de Fröken Julie (Mademoiselle Julie) d’August Strindberg, qui un siècle après sa mort, en 1912, continue à fasciner et parvient de nos jours encore à passionner le public du théâtre partout dans le monde, ils sont sans doute d’autant plus familiers avec les polars de Stieg Larsson.

Alors, que faire avec les connaissances de cette langue douce et musicale ? Si ce n’est pas pour la traduction littéraire, le journalisme, l’enseignement du français ou pour travailler dans les entreprises privées en Suède, vos connaissances en suédois pourront être les clés qui ouvrent les portes des institutions européennes.

Vie du département

Les Boréales et le Novembre Nordique

Organisé depuis 1992, Les Boréales est LE festival nordique en France. Son programme copieux offre chaque année un large panorama de la vie culturelle, littéraire et artistique des pays de l’Europe du Nord. Le Département d’études nordiques à l’Université́ de Caen Normandie a joué un rôle important dans la création de cet évènement. Depuis 2015, il propose, en partenariat avec plusieurs équipes de recherche et autres acteurs de la vie scientifique et culturelle, une série de manifestations qui accompagnent le festival, connue sous le nom de « Novembre nordique ».

Les étudiants en première année de Licence LLCER d’études nordiques sont encadrés par un enseignant référent avec qui ils peuvent entrer en contact pour obtenir des renseignements et des conseils pour réussir au mieux leurs études au département.

Chaque année, un tuteur et/ou une tutrice est/sont également désigné(es) pour assister les étudiants en études nordiques dans leur travail.

Un étudiant de chacune des cinq langues enseignées siègent avec les enseignants au comité du département d’études nordiques. De même, chaque représentant des étudiants est épaulé par un suppléant qui pourra le remplacer s’il ne peut pas être présent aux réunions du comité.

Les étudiants sont libres d’organiser diverses activités. Chaque année, ils s’impliquent ainsi dans différentes manifestations, en préparant par exemple la fête de Noël ou en participant au Salon de l’Étudiant pour promouvoir les études nordiques à l’université de Caen Normandie.